Apport diagnostique de l'immunofluorescence directe cutanée au Chu Ibn Rochd ( Etude de 75 cas )

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Apport diagnostique de l'immunofluorescence directe cutanée au Chu Ibn Rochd ( Etude de 75 cas )

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dc.contributor.author Nouiga, Hanane
dc.description.collaborator Iraqi, A. (Président)
dc.description.collaborator Azzouzi, S. (Rapporteur)
dc.description.collaborator Sqalli, S. (Jury)
dc.description.collaborator Benchikhi, H. (Jury)
dc.date.accessioned 2010-03-16T11:22:51Z
dc.date.available 2010-03-16T11:22:51Z
dc.date.issued 2003-12-12
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/123456789/5582
dc.description.abstract Nous rapportons l’expérience récente du Service d’Anatomie Pathologique du CHU Ibn Rochd de Casablanca à propos de 75 cas d’immunofluorescence directe (IFD) cutanées réalisées durant une période de 6 ans (1996 – 2001). Les fragments biopsiques cutanés provenaient de patients hospitalisés au service de dermatologie. L’âge moyen était de 38,17 ans (2-85 ans), avec une légère prédominance féminine (57%). Les diagnostics finaux retenus étaient comme suit : 48 cas de dermatoses bulleuses auto-immunes (DBAI), 10 cas de lupus érythémateux et de connectivites, 6 cas de vascularites allergiques et 11 cas d’autres dermatoses. L’IFD permettait de conclure au diagnostic final dans 72% des cas (54/75). Ses résultats était comme suit : • L’IFD révélait un dépôt immun et concluait au diagnostic final dans 45/75 cas (60%), il s’agissait de : o 36 cas de DBAI, qui sont : le pemphigus (25 cas), la pemphigoïde bulleuse (4 cas), l’épidermolyse bulleuse acquise (2 cas), la dermatite herpétiforme (2 cas), la dermatose à IgA linéaire (3 cas) o 2 cas de lupus érythémateux chronique et systémique et 1 cas de connectivite mixte o 6 cas de vascularite allergique. • Dans 27/75 cas (36%), aucun dépôt immun n’était présent. Cette IFD négative était : o contributive au diagnostic final dans 9/75 cas (12%), qui sont : l’épidermolyse bulleuse congénitale (2 cas), Photodermatose (1cas), la toxidermie (1 cas), le prurigo bulleux (2 cas), la pustulose bactérienne à staphylocoque doré (1 cas), la pustulose amicrobienne de Sneddon Wilkinson (1 cas), et l’eczéma chronique (1 cas) o non contributive au diagnostic finale dans 18/75 cas (24%), qui sont : les DBAI (12 cas) et les connectivites (6 cas). • Dans les 3/75 cas restants (4%), l’IFD était non spécifique montrant un dépôt sans signification étiopathogénique (donc non contributive au diagnostic final). Dans la pemphigoïde bulleuse, l’IFD était peu performante. Dans l’avenir nous tiendrons compte le siège et l’âge de la lésion et les traitements antérieurs ou en cours. Malgré le grand apport diagnostique de l’IFD cutanée dans les dermatoses citées, elle reste encore une technique peu utilisée dans notre contexte et d’application difficile, en rapport avec des contraintes administratives. Sa plus large réalisation en pratique permettrait une meilleure connaissance épidémiologique de nos propres affections bulleuses. en
dc.format.extent 26112 bytes
dc.format.mimetype application/msword
dc.language.iso fr en
dc.publisher Université Hassan II, Faculté de Médecine et de Pharmacie, Casablanca en
dc.subject Médecine en
dc.subject Immunofluorescence directe en
dc.subject Peau en
dc.subject Technique en
dc.subject Diagnostic en
dc.title Apport diagnostique de l'immunofluorescence directe cutanée au Chu Ibn Rochd ( Etude de 75 cas ) en

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