La contraception chez la femme : Etude à propos de 1000 cas dans la province d'El Jadida

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La contraception chez la femme : Etude à propos de 1000 cas dans la province d'El Jadida

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Title: La contraception chez la femme : Etude à propos de 1000 cas dans la province d'El Jadida
Author: Ouakour, Nadia
Abstract: Ce travail est une étude transversale à propos de la planification familiale dans la préfecture d'El Jadida durant la période ˝ Avril 2003-avril 2004˝, fait ressortir : *La pilule reste le moyen anticonceptionnel le plus utilisée (44%) suivie par le DIU (29%). *La CCV n’est utilisé que dans 9,4% ceci dû probablement au manque d’informations, au facteur religieux, mais surtout à son caractère irréversible. * La contraception injectable était utilisée dans 8,1% alors que les méthodes traditionnelles (retrait et allaitement maternel) n'étaient utilisées que dans 4,4% cela prouve que le choix des adoptrices était surtout les méthodes modernes. *Le préservatif masculin n’est utilisé que dans 4 ,2% des cas, ce qui prouve le rôle passif de l'homme dans le domaine de planification familiale. *Aucune femme n’utilisait les implants ceci est dû à la méconnaissance de la méthode. *Les Acceptrices d'une méthode contraceptive, étaient en général des femmes au foyer, le NSE bas ou moyen, analphabètes ou faiblement scolarisées, des paucipares (à part celle ayant bénéficié d'une CCV). *L’âge moyen était de 30,44 ans pour la pilule, 30,24 ans pour le DIU, 37,85 ans pour la CCV et 31,32 ans pour la contraception injectable. *Pour la plupart des adoptrices l’examen clinique initial était incomplet, alors que la surveillance médicale n'était pas bien faite, sachant que les adoptrices ne se présentaient pas souvent pour le contrôle mais surtout si apparition d’effets secondaires ou complications. *Pour la plupart des femmes, avait déjà utilisé une méthode contraceptive avec en tête de liste la pilule. *Le taux d’échec était de 0,75% pour la pilule, de 1,03% pour le DIU et de 1,06% pour la CCV. *En dehors de l'espacement des naissances, la planification familiale a un autre but qui est d'encourager la femme à consulter un praticien et pratiquer des examens de dépistage des cancer du sein, du col utérin…etc. Par ailleurs au Maroc ce deuxième but est loin d'être atteint.
Date: 2005

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