L'imagerie des pathologies tumorales et pseudotumorales odontogéniques des maxillaires

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L'imagerie des pathologies tumorales et pseudotumorales odontogéniques des maxillaires

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Title: L'imagerie des pathologies tumorales et pseudotumorales odontogéniques des maxillaires
Author: Radi, Latifa
Abstract: A travers cette thèse, nous avons tenté d’établir la liste la plus exhaustive possible des tumeurs odontogéniques des maxillaires. Leur description reflète la variété et la proximité de ces lésions. On distingue les tumeurs odontogéniques bénignes qui sont classées selon leurs constitutions histologiques en trois catégories : les tumeurs épithéliales, les tumeus mésenchymateuses ou ectomésenchymateuses et les tumeurs mixtes (épithéliales avec ectomésenchyme). Les tumeurs odontogéniques malignes (carcinomes et sarcomes odontogéniques) sont représentées généralement par la dégénérescence des tumeurs odontogéniques bénignes. Cette classification qui est basée sur l’odontogénèse reste encore controversée du fait d’une part de la complexité des tissus impliqués et d’autre part de la rareté de certaines lésions. En pratique clinique, les tumeurs odontogéniques bénignes sont les plus fréquentes et se limitent dans l’immense majorité des cas à l’améloblastome. Les tumeurs odontogéniques malignes restent très rares. Les tumeurs odontogéniques des maxillaires partagent la même symptomatologie qui est marquée par la tuméfaction osseuse indolore. En théories certains éléments cliniques (âge du patient, notion de fréquence, siège tumoral) parviendront à suspecter le diagnostic. L’orthopantomographie est l’examen radiologique à réaliser en première intention pour une étude d’ensemble des structures dentaires et osseuses. Elle permet de visualiser la tumeur sous formes d’une image radio claire et/ou radio opaque, de décrire ses caractéristiques et de préciser les signes associés (dent incluse, rupture de la corticale, rhizalyse). Les clichés intra oraux (rétro alvéolaire et occlusal) sont de plus en plus négligés au profit de la TDM qui est devenue un examen de référence pour l’étude des tumeurs odontogéniques. Elle permet une meilleure analyse de l’aspect et des rapports de la lésion. L’IRM trouve sa place dans le bilan d’extension vers les parties molles. Ces données cliniques et radiologiques permettent une orientation diagnostique, mais seule la conclusion anatomo-pathologique permet de confirmer le diagnostic des tumeurs odontogéniques. Cette étude histologique se fait à partir de la pièce d’exérèse et amène à adapter le traitement selon l’agressivité de la tumeur et sa capacité à récidiver.
Date: 2006

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