Analyse antigénétique de Toxoplasma gondii : Détection des antigènes circulants dans la toxoplasmose murine

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Analyse antigénétique de Toxoplasma gondii : Détection des antigènes circulants dans la toxoplasmose murine

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Title: Analyse antigénétique de Toxoplasma gondii : Détection des antigènes circulants dans la toxoplasmose murine
Author: Hafid, Jamal Eddine
Abstract: La connaissance de la structure antigénique et la détection des antigènes circulants du Toxoplasma gondii, permettent l’amélioration du dépistage de la Toxoplasmose. Nous adoptons dans un premier temps la chromatographie sur gel Sephacryl S300 et l’électrophorèse sur gel à 10% pour analyser les différents extraits antigéniques préparés à partir du parasite : antigène total, antigène cytoplasmique et l’antigène membranaire. Dans un deuxième temps nous procédons à l’électrosynérèse, l’immunodiffusion et à l’immunoélectrophorèse pour l’étude immunologique des différents extraits d’une part, et d’autre part à la détection des antigènes circulants chez l’animal d’expérience. Les extraits total, cytoplasmique et membranaire ont montré respectivement 5, 4 et 2 fractions antigéniques en chromatographie. L’électrophorèse sur gel nous a permis d’identifier des protéines de PM 14 000, 15 000, 62 000, 330 000 et > 330 000 d à partir de l’extrait cytoplasmique et des protéines de PM 30 000 et 65 000 daltons à partir de l’extrait membranaire. Les techniques immunologiques appliquées sur ces extraits et en présence d’un anticorps préparé à partir de l’hyperimmunsérum de lapin immunisé par l’antigène total de Toxoplasmes ont révélé des résultats différents. L’électrosynérèse semble la plus sensible en montrant 10 traits de précipitation pour l’extrait total et 8 traits pour l’extrait cytoplasmique et pour l’extrait membranaire. Les deux autres techniques ont donné moins d’arcs ou de traits de précipitation. L’apparition des antigènes circulants chez des animaux (souris, cobayes) infestés par la souche RH n’est mise en évidence par l’électrosynérèse qu’à partir du 4ème jour de l’infection et en présence de faibles taux d’anticorps antitoxoplasmes. Elle est plus tardive avec l’immunodiffusion et l’immunoélectrophorèse. Quant aux animaux infestés par la souche kystogène (Prugnaud) aucune réaction vis-à-vis du polyclonal n’a été révélée par les trois techniques. Les antigènes circulants détectés chez l’animal infesté par la souche RH semblent avoir une identité en électrosynérèse avec les extraits antigéniques et notamment avec la fraction cytoplasmique 3 et la fraction membranaire 1 séparées par chromatographie.
Date: 1987-07-01

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