Les fractures du quart distral du radius

DSpace/Manakin Repository

Aide Aide Aide

Nos fils RSS

Toubkal : Le Catalogue National des Thèses et Mémoires

Les fractures du quart distral du radius

Show full item record


Title: Les fractures du quart distral du radius
Author: Kader Yettefti, Houda
Abstract: - Notre travail concerne l’étude rétrospective de 53 cas de fractures du 1/4 distal du radius, admis au Service de Traumatologie-Orthopédie à l’hôpital provincial Mohamed V d’El Jadida entre 1997 et 2000. - 50 cas ont été traités : par traitement orthopédique (20 cas, soit 40%), par embrochage de PY (21 cas, soit 42%), et par fixateur externe (9 cas, soit 18%). 2 patients ont refusé l'intervention et 1 patient est décédé en peropératoire. - La moyenne d’âge de nos patients était de 38 ans. - Il existait certes, une nette prédominance masculine (77%). - Le côté gauche était atteint dans 32 cas (60,38%). - L’étiologie était dominée par les simples chutes sur la paume de la main (51%). - Le traumatisme était ouvert chez 10 patients (18,86%). - Selon la classification de CASTAING (12) reprise et complétée par GRUMILLIER (34) , nous avons noté : • 33 fractures extra-articulaires. • 15 fractures articulaires. • 2 décollement épiphysaires (stade II). - L’anesthésie était générale dans 45 cas (90%). - L’immobilisation par attelle plâtrée était systématique chez tous les patients opérés durant une période de 4 semaines. - Les suites étaient marquées essentiellement par : • 5 cas (10%) régressifs de syndromes d’irritation du nerf radial. • 9 cas (18%) de déplacements secondaires ; (12%) après plâtre et (6%) après chirurgie. • 3 cas (6%) d’infection ; (4%) sur traitement chirurgical et (2%) sous plâtre. • 5 cas (10%) de syndromes neuroalgodystrophiques. • 6 cas (12%) de cal radial. • 6 cas (12%) de raideur articulaire ; (8%) sous plâtre et (4%) sous chirurgie. • 1 cas (2%) de pseudarthrose. L’étude de cette série permet de décrire la prise en charge de ce type de fracture depuis l’admission jusqu’à la déclaration de sortie et d’analyser les résultats et les complications des différentes méthodes thérapeutiques utilisées. Le résultat global fait apparaître 64% de très bon-bon avec un parallélisme entre la qualité des résultats anatomiques et fonctionnels. Enfin, la rééducation précoce constitue un complément thérapeutique indispensable pour la récupération rapide et satisfaisante de la fonction du poignet et de la main.
Date: 2001

Files in this item

Files Size Format View

There are no files associated with this item.

This item appears in the following Collection(s)

Show full item record

Search DSpace


Advanced Search

Browse

My Account