La reprise de la méïose ovacytaire chez les amphibiens urodèles : Etude cytologique et cytochimique

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La reprise de la méïose ovacytaire chez les amphibiens urodèles : Etude cytologique et cytochimique

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dc.contributor.author Taghy, Zoubida
dc.description.collaborator Capuron, A. (Président)
dc.description.collaborator Guerrier, P. (Rapporteur)
dc.description.collaborator Andries, J.C. (Examinateur)
dc.description.collaborator Boilly, B. (Examinateur)
dc.date.accessioned 2009-05-29T10:46:52Z
dc.date.available 2009-05-29T10:46:52Z
dc.date.issued 1983-06
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/123456789/3284
dc.description.abstract La reprise in vitro de la méïose ovocytaire des amphibiens est marquée par plusieurs événements morphologiques dont la migration de la vésicule germinative au pôle animal, la rupture de son enveloppe, la formation du fuseau de division vers le cortex et l’expulsion du premier globule polaire. Les ovocytes des Urodèles et de Pleurodeles waltlii en particulier se caractérisent par leur enveloppe de cellules folliculaires, une enveloppe vitelline traversée par les macrovillosités des cellules folliculaires qui établissent des jonctions avec la membrane plasmique de l’ovocyte. L’oolemme est ornée de nombreuses microvillosités et le cortex forme une mince bande cytoplasmique dans laquelle abondent des mitochondries, des mélanosomes au pôle animal et des plages clairsemées de glycogène ; l’ovocyte est envahi par un vitellus extrêmement riche dans lequel on observe souvent des lamelles annelées. En présence de progestérone, on assiste à la réduction progressive des microvillosités et du nombre de jonction "gap". Les coupes histologiques et ultrastructurales révèlent que le glycogène, essentiellement situé à la base de la vésicule germinative, migre au pôle animal pour y former des plages extrêmement denses ; dans le même temps, des vésicules se constituent et viennent englober des amas de glycogène qui seront ensuite expulsés du cytoplasme cortical entre l’ovocyte et les cellules folliculaires par un mécanisme de sécrétion apocrine. Le même processus existe également chez l’Axolotl bien qu’il soit moins intense, mais n’a jamais été observé chez l’Anoure Xenopus laevis. Le maximum d’activité se situe entre 4 et 8 heures d’incubation hormonale chez le Pleurodèle et 4 à 6 heures chez l’Axolotl. Après rupture de l’enveloppe de la vésicule germinative, le cytoplasme cortical est envahi par de nombreuses vésicules sans contenu apparent, dont l’origine est discutée. en
dc.format.extent 19968 bytes
dc.format.mimetype application/msword
dc.language.iso fr en
dc.publisher Université des Sciences et Techniques de Lille - Flandres-Artois, Lille en
dc.subject Biologie en
dc.subject Physiologie animale en
dc.subject Méfose en
dc.subject Ovocyte en
dc.subject Amphibie en
dc.subject Vésicule germinative en
dc.subject Urodèle en
dc.subject Pleurodèle en
dc.subject Microvillosité en
dc.subject Macrovillosité en
dc.subject Jonction cellulaire en
dc.subject Glycogène en
dc.subject Axolotl en
dc.subject Ancure en
dc.subject Xenope en
dc.subject Vésicule en
dc.title La reprise de la méïose ovacytaire chez les amphibiens urodèles : Etude cytologique et cytochimique en

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