Etude de l'anatomie endodontique de la deuxième prémolaire supérieure : A propos de trois moyens d'investigation

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Etude de l'anatomie endodontique de la deuxième prémolaire supérieure : A propos de trois moyens d'investigation

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Title: Etude de l'anatomie endodontique de la deuxième prémolaire supérieure : A propos de trois moyens d'investigation
Author: Kadiri, Halima
Abstract: L’anatomie endodontique est très variable, elle présente des schémas canalaires différents qui ont fait l’objet d’études nombreuses. La radiographie joue un rôle primordial dans la mise en évidence de cette anatomie. Mais celle-ci a des limites d’où le recours à d’autres méthodes d’investigation. Nous avons utilisé dans notre étude en plus de la radiographie sous deux incidences orthogonale et mésio-excentrée, la méthode des coupes dentaires et celle des injections cavitaires. L’étude a été réalisée au sein du centre CCTD, sur 200 secondes prémolaires. Des examens radiographiques et une série de coupes anatomiques et d’injection d’encre de chine permettent d’établir une idée précise sur la complexité de l’anatomie endodontique. Les résultats trouvés dans notre étude et comparés avec ceux d’autres auteurs montrent que : -25.5% des dents présentent une image en type I de Laurichesse, le type II est présent dans 22%, le type III est le plus fréquent avec 26.5%, le type IV représente 2% seulement, le type V est présent dans 5%. La combinaison des types II et V est la plus fréquente avec 14%, puis celle des types II et III avec 6.5%, II et IV avec 6%, enfin, la combinaison des types III et V ne représente que 0.5. -Le taux global pour le type I de Vertucci est de 32%, il est de 20.5% pour le type II, 25.5% pour le type IV, 8% pour le type V, 13.5% pour le type VI. Les III, VII, VIII sont inexistants. -Les canaux latéraux ou secondaires représentent 9% d’après la technique radiographique, 8% d’après la technique des coupes et 18% d’après celle des injections à l’encre de chine. -Les anastomoses représentent 15% pour le lot 1 et 12% pour le lot 2. Au terme de cette étude, on constate que la radiographie a certes des limites malgré l’importance des informations recueillies. La technique d’injections à l’encre de chine nous renseigne sur les fins détails de l’anatomie canalaire.
Date: 2001-03-22

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