Toubkal : Le Catalogue National des Thèses et Mémoires
La stimulation cardiaque : expérience de la cardiologie "b" à propos de 137 cas
dc.contributor.author | Saghi, Ghita | |
dc.description.collaborator | Cherti, M. (Président) | |
dc.description.collaborator | Bouhouch, R. (Rapporteur) | |
dc.description.collaborator | Fellat, I. (Jury) | |
dc.description.collaborator | Fellat, R. (Jury) | |
dc.description.collaborator | Cheikhaoui, Y. (Jury) | |
dc.date.accessioned | 2021-04-01T15:10:20Z | |
dc.date.available | 2021-04-01T15:10:20Z | |
dc.date.issued | 2010 | |
dc.identifier.uri | http://toubkal.imist.ma/handle/123456789/13818 | |
dc.description.abstract | Objectif : Le but de notre travail est d’étudier le profil épidémiologique des patients porteurs d’un stimulateur cardiaque dans notre service. Matériel et méthodes : De Septembre 2001 à Décembre 2009, 137 patients ont bénéficié de l’implantation d’un stimulateur cardiaque au service de Cardiologie B de la Maternité Souissi. Il s’agit de 68 femmes et 69 hommes. L’âge moyen est de 57,5 ans (+/-21). Le recul moyen est de 48 mois. Résultats : Les Blocs Auriculo-ventriculaires permanents représentent 89% des indications de la stimulation cardiaque, versus 3,6% pour la dysfonction sinusale ; Les BAV paroxystiques sont retrouvés chez 7.4% de nos patients. L’origine dégénérative représente 80% de l’ensembe des implantations. Les troubles conductifs postopératoires en constituent 9%, ceux d’origine congénitale intéressent 7%, tandis que les troubles conductifs d’origine ischémique et ceux en rapport avec une neurodystrophie sont plus rares (respectivement 3% et 1%). Sur le plan clinique, la syncope a été retrouvée chez 42.3% des patients. Les stimulateurs cardiaques sont double-chambre dans 69% des cas. Le mode mono-chambre ventriculaire a intéréssé 30,3% des patients (ceux démunis ou à oreillette inutilisable). Enfin, un seul patient a bénéficié de la stimulation biventriculaire. Tous nos patients ont dans l’ensemble bien évolué. Les complications précoces (hématome, pneumothorax, infection de loge, déplacement de sonde) sont retrouvées dans 11,7% des cas. Conclusion : Nos données, concernant la prédominance de l’origine dégénérative et la fréquence d’implantation des PM double-chambre, rejoignent celles de la littérature. Le taux de complications est également comparable à celui rapporté dans les autres études. Ces résultats sont encourageants pour notre jeune équipe au laboratoire d’électrophysiologie du service de cardiologie B pour la réalisation de procédures plus complexes en l’occurrence la resynchronisation cardiaque et/ou le défibrillateur automatique à condition que les caisses nationales ainsi que les assurances puissent en assurer le remboursement. | fr_FR |
dc.language.iso | fr | fr_FR |
dc.publisher | Université Mohammed V, Faculté de Médecine et de Pharmacie-Rabat | fr_FR |
dc.subject | Stimulation cardiaqueBloc auriculo | fr_FR |
dc.subject | Ventriculaire | fr_FR |
dc.subject | Dysfonction sinusale | fr_FR |
dc.subject | Pacemaker mono-chambre | fr_FR |
dc.subject | Pacemaker double-chamb | fr_FR |
dc.title | La stimulation cardiaque : expérience de la cardiologie "b" à propos de 137 cas | fr_FR |
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