Intérêt de la recherche de l’antigène galactomannane dans le diagnostic de l’aspergillose pulmonaire invasive: Expérience du laboratoire de parasitologie mycologie de l’HMIM V

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Intérêt de la recherche de l’antigène galactomannane dans le diagnostic de l’aspergillose pulmonaire invasive: Expérience du laboratoire de parasitologie mycologie de l’HMIM V

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Title: Intérêt de la recherche de l’antigène galactomannane dans le diagnostic de l’aspergillose pulmonaire invasive: Expérience du laboratoire de parasitologie mycologie de l’HMIM V
Author: Ben Fouila, Fatima Zahra
Abstract: Introduction : l’aspergillose pulmonaire invasive est l’infection fongique la plus redoutable dans les services d’hématologie clinique. L’incidence de l’API est une augmentation et la mortalité reste très élevée, malgré le progrès notable de la thérapeutique, qui est due au retard du diagnostic et donc une prise en charge thérapeutique adaptée permet d’améliorer le pronostic de cette infection. Le but de notre étude est d’évaluer l’intérêt de la recherche de l’antigène galactomannane dans le diagnostic précoce de l’aspergillose pulmonaire invasive. Matériels et méthodes : il s’agit d’une étude prospective observationnelle menée sur six mois (septembre 2010 à mars 2011) au service d’hématologie clinique de l’HMIMV. Pour dépister précocement les cas d’API, nous avons systématiquement réalisé, sur les sérums des patients neutropéniques hospitalisés dans le secteur protégé du service d’Hématologie Clinique, un dosage du galactomannane aspergillaire par technique Elisa (Platelia Aspergillus, BioRad®) en bihebdomadaire. Les résultats sont exprimés en index. Résultats ; durant la période d’étude, 10 patients ont été inclus. Sept hommes et trois femmes, d’âge moyen 37.3 ans. Les facteurs de risques retrouvés chez patients sont ceux rapportés dans la littérature, la neutropénie profonde étant le facteur majoritaire. Sur les 27 prélèvements effectués, 6 sérums ont été positifs (index > 0.5). D’après les critères EORTC, le s trois patients présentaient une API possible. La sensibilité du test était de 94%, la spécificité étant de 92%. Conclusion : le diagnostic d’API est un diagnostic difficile, souvent posé tardivement. La détection du GM sérique et/ou dans le LBA reste la méthode la plus recommandée pour le diagnostic précoce chez les patients immunodéprimés ainsi que pour le suivi thérapeutique.
Date: 2011

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