Clonage et séquençage de l’ADNc du récepteur membranaire de la gonadoliberine OVINE « Mise en évidence d’un processus d’épissage alternatif »

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Clonage et séquençage de l’ADNc du récepteur membranaire de la gonadoliberine OVINE « Mise en évidence d’un processus d’épissage alternatif »

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Title: Clonage et séquençage de l’ADNc du récepteur membranaire de la gonadoliberine OVINE « Mise en évidence d’un processus d’épissage alternatif »
Author: Benslimane, Bouchra
Abstract: La gonadolibérine (GnRH) est un décapeptide hypothalamique qui Joue un rôle principale dans la régulation de la fonction de reproduction, en stimulant au niveau hypophysaire la synthèse et la sécrétion des hormones gonadotropes, l’hormone lutéinisante (LH) et la folliculo-stimulante (FSH) qui sont responsables du fonctionnement des gonades et la sécrétion des stéroïdes gonadiques. Le GnRH agit par l’intermédiaire d’un récepteur membranaire qui joue un rôle critique dans les activités médiées par ce neuropeptide. Récemment, l’ADNc de ce récepteur a été cloné chez plusieurs éspèces . Nous nous sommes intéressés dans ce travail au clonage de l’ADNc du récepteur chez l’espèce ovine. La disponibilité de tel ADNc va nous permettre, en effet, de caractériser le gène qui l’exprime et d’isoler son promoteur. En collaboration avec le laboratoire d’Endocrinologie Cellulaire et moléculaire de la reproduction à paris, une banque d’ADNc hypophysaire Ovine a été construite dans le phage λgt 10. Cette banque a tété criblée à l’aide da l’ADNc du même récepteur isolé chez le rat et marqué à l’aide de la digoxygénine. Nous avons identifié 14 clones dont 4 ont pris notre intérêt. D’après la taille des inserts et la cartographie de restriction, nous avons sélectionné par la suite deux de ces clones (1, 4 et 2,1 kb) en vue d’une analyse plus fine. Celle-ci a montré que la cartographie de restriction du plus petit est identique à la partie correspondante à la partie correspondante à la forme la plus longue. L’analyse partielle par séquençage révèle que l’insert de 1,4 kb comporte toute la séquence codante durécepteur du GnRH, suivi d’une région 3’ non traduite de 205 pb au-delà du codon de terminaison qui présente un signal de polydénylation et une queue polyA. L’insert de 2,1 kb comporte à nouveau la séquence codante et une séquence 3’ non traduite d’une longueur d’environ 1kb. L’analyse comparative des deux séquences révèle que le plus petit des ADNc présente une forte homologie avec la partie correspondante à la forme la plus longue. En outre, l’ADNc de 1,4 kb présente un signal et une queue poly A précoce. Il s’agi donc de deux formes d’ARNm différents qui résultent d’un processus de maturation alternative par choix du site préférentiel de polyadénylation. Chez les autres espèces, ces formes sont observées et correspondent à des récepteurs fonctionnels.
Date: 1997-12-18

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