Toubkal : Le Catalogue National des Thèses et Mémoires
Tabagisme chez les élèves de la mission française de Casablanca
dc.contributor.author | Chader, Hassan | |
dc.description.collaborator | Bahlaoui, A. (Président) | |
dc.description.collaborator | Yassine, N. (Jury) | |
dc.description.collaborator | Marhoum El Filali, K. (Jury) | |
dc.description.collaborator | Noun, M. (Jury) | |
dc.description.collaborator | Bartal, M. (Membre associé) | |
dc.date.accessioned | 2010-03-16T11:05:46Z | |
dc.date.available | 2010-03-16T11:05:46Z | |
dc.date.issued | 2003 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/123456789/5580 | |
dc.description.abstract | Les objectifs de cette étude étaient d’évaluer la prévalence du tabagisme chez les élèves du secondaire de la mission française de Casablanca, d’apprécier leur attitude et comportement vis-à vis du tabac et leur connaissance de la loi marocaine antitabac. Un échantillon représentatif composé de 431 élèves du secondaire a été sélectionné au hasard. Le recueil des donnés a été fait par un auto-questionnaire anonyme. Sur l’ensemble de l’échantillon, 34,3% des lycéens se déclaraient fumeurs parmi lesquelles 28,1% des fumeurs permanents et 6,3% des fumeurs occasionnels. Les non-fumeurs représentaient 65,7% dont 61% des lycéens n’ayant jamais fumé et 4,64% des ex-fumeurs. Le profil tabagique des lycéens n’était pas lié au sexe. La différence entre le taux de garçons fumeurs et celui des filles fumeuses n’étant pas significative. L’âge était un facteur déterminant dans l’acquisition de l’habitude tabagique puisque la prévalence du tabagisme s’élevait avec l’âge. La prévalence du tabagisme était plus élevée chez les élèves de nationalité française. Le père n’a pas d’influence statistiquement significative sur le tabagisme de l’adolescent, au contraire de la mère et des frères et sœurs. Enfin, le fait d’avoir son (sa) meilleur (e) ami (e) fumeur était un paramètre prédictif du tabagisme de loin le plus important. L’autorisation parentale à fumer n’était acquise que dans le tiers des cas (36,1%). Les deux tiers des adolescents fumeurs rapportaient l’essoufflement après l’effort comme le premier signe clinique ressenti. Les jeunes fumaient leur première cigarette par curiosité. La moitié des jeunes fumeurs de la population étudiée déclaraient avoir envie d’arrêter de fumer. Les fumeurs étaient plus enclins à boire de l’alcool et à consommer des drogues illicites. Très peu considéraient le tabac comme inoffensif et le degré d’information ne semblait pas influencer leurs habitudes tabagiques. Quant aux principales sources d’information, les médias et les parents dominaient largement. Les élèves étaient unanimement d’accord avec l’application des mesures législatives pour réduire le tabagisme, pourtant seulement 10,8% étaient au courant de l’existence de la loi marocaine antitabac. Les stratégies de préventions devraient donc concerner non seulement les élèves du secondaire mais aussi le milieu familial, scolaire et sociale. | en |
dc.format.extent | 26112 bytes | |
dc.format.mimetype | application/msword | |
dc.language.iso | fr | en |
dc.publisher | Université Hassan II, Faculté de Médecine et de Pharmacie, Casablanca | en |
dc.subject | Médecine | en |
dc.subject | Tabagisme | en |
dc.subject | Milieu scolaire | en |
dc.subject | Elève | en |
dc.subject | Mission française | en |
dc.subject | Casablanca | en |
dc.title | Tabagisme chez les élèves de la mission française de Casablanca | en |
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