Etude de l'intercalation dans le graphite d'un métal alcalin lorsqu'il est allié à un élément chimique peu électropositif

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Toubkal : Le Catalogue National des Thèses et Mémoires

Etude de l'intercalation dans le graphite d'un métal alcalin lorsqu'il est allié à un élément chimique peu électropositif

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dc.contributor.author Assouik, Jamal
dc.description.collaborator Ramdani, A. (Président)
dc.description.collaborator El Farissi, M. (Rapporteur)
dc.description.collaborator Lagrange, P. (Rapporteur)
dc.description.collaborator Bendriss, A. (Rapporteur)
dc.description.collaborator Wahbi, H. (Rapporteur)
dc.description.collaborator Essaddek, A. (Rapporteur)
dc.description.collaborator El Ghadraoui, El. (Jury)
dc.description.collaborator El Gadi, M. (Jury)
dc.description.collaborator El Ansari, L. L. (Jury)
dc.description.collaborator Gharibi, E. (Jury)
dc.date.accessioned 2011-10-07T11:33:24Z
dc.date.available 2011-10-07T11:33:24Z
dc.date.issued 2000-06-10
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/123456789/8551
dc.description.abstract Les alliages métalliques binaires métal alcalin lourd-arsenic réagissent aisément sur le graphite en conduisant à la formation d’une variété très riche de composés ternaires. Ceux-ci dont les distances varient de 950 à 1120 pm, sont en général constitué de feuilles multicouches dans la direction parallèle à l’axe c du graphite. L’examen, au moyen des techniques appropriées, de la structure bidimensionnelle de ces phases a montré que celles-ci cristallisent dans des mailles 2D très variées : elles peuvent être aussi bien commensurables qu’incommensurables avec la maille du graphite. Des études de la résistivité électrique de certains de ces composés ternaires ont montré qu’ils présentent un caractère métallique et une anisotropie de conductivité électrique très élevée. En faisant, par ailleurs, agir la graphite un très large excès de potassium et d’une très faible quantité d’arsenic, dans un réacteur en acier inoxydable, on obtient un mélange de deux phases dont les périodes d’identité sont respectivement égales à 860 et 1125 pm. Une série d’expériences menées, par la suite, en substituant l’arsenic par un élément tel que : Tl, Bi, Ga, Sb, Pb, In ou Hg a conduit à la formation d’une multitude de phase à courtes distances interplanaires. Des analyses chimiques semi-quantitatives réalisées au moyen de la microscopie électronique à balayage et à transmission sur certaines de ces phases ont montré que celles-ci étaient très riches en potassium dans lequel est dilué une très faible quantité du second élément peu électropositif. fr_FR
dc.language.iso fr fr_FR
dc.publisher Université Mohamed 1er, Faculté Des Sciences, Oujda fr_FR
dc.relation.ispartofseries Th-662.92/ASS
dc.subject Graphite fr_FR
dc.subject Arsenic fr_FR
dc.subject Insertion fr_FR
dc.subject Alliage fr_FR
dc.subject Distance interplanaire fr_FR
dc.subject Résistivité fr_FR
dc.title Etude de l'intercalation dans le graphite d'un métal alcalin lorsqu'il est allié à un élément chimique peu électropositif fr_FR

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