Etude de biologie, d'écologie, de dynamique des populations et lutte biologique contre parabemisia myricae kuw. ( Homoptera:Aleyrodidae ) dans le Souss

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Etude de biologie, d'écologie, de dynamique des populations et lutte biologique contre parabemisia myricae kuw. ( Homoptera:Aleyrodidae ) dans le Souss

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dc.contributor.author Lakhlifi, Thami
dc.description.collaborator Sekkat, A. (Président)
dc.description.collaborator Abbassi, M. (Rapporteur)
dc.description.collaborator Franchimont, J. (Examinateur)
dc.description.collaborator Dliou, A. (Examinateur)
dc.description.collaborator Bennis, A. (Examinateur)
dc.date.accessioned 2011-03-21T11:27:09Z
dc.date.available 2011-03-21T11:27:09Z
dc.date.issued 1996-07-11
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/123456789/7891
dc.description.abstract Installé sur Citrus depuis 1990, Parabemisia myricae Kuwana était devenu en l’espace de deux années de présence un ravageur économiquement important au Maroc. L’étude menée sur ce déprédateur dans la région du Souss était destinée à en préciser l’écologie, la biologie, la dynamique des populations ainsi que l’impact des facteurs biotiques et abiotiques sur son développement. Les prospections concernant les plantes hôtes de P. myricae nous ont permis d’énumérer 15 espèces végétales (autres que les Citrus) hébergeant l’aleurode japonaise, mais sans toutefois qu’il y ait de pullulation sérieuse sur ces hôtes. Dans l’étude de la biologie de P. myricae sur plants infestés sous housses, nous avons mis en évidence la succession de six de l’aleurode durant la première année d’observations (Mars 1994-Février 1995) et sept générations entre le printemps 1995 et l’automne 1995 pendant la deuxième année d’observations. Au cours de cette étude, nous avons noté également une grande variation dans la durée du cycle de développement en fonction des saisons, elle est courte en été (30 à 38 jours), moyenne au printemps et en automne (39 à 47 jours) et plus longue en hiver (148 jours). Parallèlement, l’étude de la biologie de la mouche blanche dans les conditions naturelles du verger d’agrumes, a permis de définir six générations annuelles du ravageur aussi bien en première année (Mars 1993-Février 1994) que pendant la deuxième année d’étude (Mars 1994-Février 1995) et cinq autres générations durant la période s’étalent entre Mars 1995 et Octobre 1995 ; l’insecte hivernant principalement aux 2ème, 3ème et 4ème stades larvaires. Cette étude nous a permis, par ailleurs, de préciser le degré de pullulation de la mouche blanche suivant les saisons : fortes infestations en automne, faibles au printemps et moyennes en été. Dans le but de corréler l’importance de pontes notées sur les feuilles de comptages avec l’activité de vols massifs des adultes en verger, nous avons suivi l’évolution des populations piégées par utilisation des pièges jaunes englus. Les résultats des capteurs ont montré la succession de trois périodes de vols massifs d’adultes de l’aleurode entre Juillet 1993 et Février 1994 et six autres périodes entre Mars 1994 et Février 1995. Durant la dernière étape de l’opération de piégeage, cinq périodes de vols d’adultes de P. myricae sont manifestées entre Mars 1995 et octobre 1995. L’actions limitée des diverses formulations insecticides dirigées contre P. myricae et le rôle relativement négligeable exercé par les entomophages locaux, nous ont déterminé à recourir à l’importation et à l’acclimatation d’Eretmocerus debachi Rose & Rosen, parasitoïde de P. myricae. L’introduction de ce parasitoïde dès l’automne 1992, soit environ deux années et demi après la détection des premiers foyers de l’aleurode au Maroc, a contribué à une chute variant entre 65 et 77% au sein des populations de son hôte entre le printemps 1993 et le printemps 1994 malgré le faible effectif d’individus que nous avons libéré en verger. Après la deuxième introduction de cet Aphelinide en Juin 1994 et suite aux fortes chaleurs persistantes du mois de Juillet 1994, les populations de P. myricae ont connu une basse dépassant les 98% si on compare les niveaux d’infestations du printemps 1993 et ceux du printemps 1995. Cet impact a été confirmé à l’automne 1995 et au printemps 1996, les populations de P. myricae étant restées à un niveau très bas. fr_FR
dc.language.iso fr fr_FR
dc.publisher Université Moulay Ismaïl, Faculté des Sciences, Meknès fr_FR
dc.relation.ispartofseries Th-577.88/LAK;
dc.subject Biologie fr_FR
dc.subject Ecologie fr_FR
dc.subject Population fr_FR
dc.subject parabemisia myricae kuw. fr_FR
dc.subject Homoptera:Aleyrodidae fr_FR
dc.subject Souss fr_FR
dc.title Etude de biologie, d'écologie, de dynamique des populations et lutte biologique contre parabemisia myricae kuw. ( Homoptera:Aleyrodidae ) dans le Souss fr_FR

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