Etudes électrophysiologiques et mécaniques d'un antagoniste des sites periphériques aux benzodiazepines, le pik III95 sur le myocarde ventriculaire de cobaye

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Etudes électrophysiologiques et mécaniques d'un antagoniste des sites periphériques aux benzodiazepines, le pik III95 sur le myocarde ventriculaire de cobaye

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Title: Etudes électrophysiologiques et mécaniques d'un antagoniste des sites periphériques aux benzodiazepines, le pik III95 sur le myocarde ventriculaire de cobaye
Author: Aniq Filali, Ouafaa
Abstract: La synthèse d’un agoniste le Ro 5-4864 a permis d’identifier des sites aux benzodiazépines au niveau périphérique. Cet agoniste possède un effet inotrope négatif dès 3.10-9 M concentration dépendant et entraîne un raccourcissement de la durée du potentiel d’action myocardique. Ces effets sont inversés par l’élévation de la concentration extracellulaire en Ca2+. Les courants impliqués ne sont pas encore élucidés. MESTRE et coll. Proposent un “couplage entre les sites périphériques aux benzodiazépines et les canaux calciques. Ceci a été contesté par OSTERRIEDER au moins pour les concentrations inférieures à 1.10-6 M, concentration qui influenceraient que le courant sortant potassique repolarisant. Le PK III95, sans relation structurale avec les benzodiazépines : -antagonise l’action du Ro 5-4864, -est inotrope négatif, -ne modifie pas les décours des potentiels d’action cardiaques. Dans ce travail, il nous a semblé intéressant d’étudier les éventuelles interactions entre le PK III95 et deux antagonistes du Ca2+, le vérapamil et le nifédipine, et d’un agoniste, le BAY K 8644. Nos résultats montrent que le PK III95 s’oppose aux effets électrophysiologiques e mécaniques du vérapamil et du BAY K 8644, en milieu normal et hyperpotassique. Un tel antagonisme n’est pas retrouvé vis-à-vis de la nifédipine. Si nos résultats sont relativement voisins de ceux de MESTRE et al., nous ne retrouvons pas l’antagonisme PK III95-nifédipine. En l’état actuel de notre travail, il nous est difficile de proposer une interprétation à cette divergence puisqu’il est établi que le site de liaison des 1,4-dihydropyridines est unique, que le composé soit agoniste ou antagoniste.
Date: 1986-10-27

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